la séduction à la sénégalaise
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la séduction à la sénégalaise
La séduction en art majeur
Petit inventaire des artifices de la séduction à la sénégalaise
10 février 2008
La séduction est inscrite dans le patrimoine génétique de toutes les
femmes. Cet art est chez la Sénégalaise une seconde nature... Ses
secrets se transmettent de mère en fille, de génération en génération,
assurant la pérennité de toutes ces petites attentions. Aperçu du
dessous de ces dessus et petit inventaire des artifices de la séduction
à la sénégalaise.
La chambre est un espace de repos privilégié ; pour les avertis, un
endroit de voluptueuse rixe entre partenaires adultes et consentants...
Pour optimiser les atouts que la nature leur a généreusement distribués
et poussant la séduction jusque dans ses plus extrêmes retranchements,
les femmes ont investi la chambre pour en faire un territoire désormais
miné par la "guerre des sexes" : initiative dont curieusement aucun
homme ne se plaint...
Petit inventaire des artifices de la séduction à la sénégalaise
Les bines-bines
Les bines-bines
Perles fines en plastique ou en céramique. Il existe
une grande variété de bines-bines : les fluorescents sont très
appréciés et permettent de se repérer dans le noir... Lorsque les
filles se mettent plusieurs colliers autour de la taille et déambulent
en ondoyant, l’homme se transforme illico en loup de Tex Avery. Ce
bruit très suggestif est une véritable invite pour le mâle... qui sait
écouter.
Les dial-dialis
Les dial-dialis
Perles en bois plus gosses que les bines-bines. Elles
font un bruit un peu crissant (dial dial dial dial), d’où leur nom,
lorsque leur porteuse se déplace. Ce bruit entêtant est pour les
connaisseurs un véritable appel à l’acte. On les met autour de la
taille, plutôt sur les hanches. On peut les personnaliser en les
trempant dans un bocal d’encens aromatisé à divers parfums selon les
goûts de chacun. Les dial-dialis roulent sur les hanches et constituent
une parure de plus pour le corps nu de la femme. Au Sénégal, dans le
Sahel, au Soudan et au Tchad entre autres, les dial-dialis sont réputés
pour titiller les virilités défaillantes.
Les béthios ou petits pagnes
Les béthios ou petits pagnes
À l’origine portés par les grands-mères en guise de
sous-vêtements. Aujourd’hui, avec l’invasion des tangas, strings,
boxers, culottes brésiliennes et autres et ce jusque dans les villages
les plus reculés, le petit pagne dans un réflexe de survie s’est
recyclé, entamant une seconde vie d’accessoire coquin.
Percés ou non, en coton ou en soie, qu’ils soient
"neutres" et "sages" ou ornés de dessins hautement suggestifs, les
petits pagnes sont devenus le nec plus ultra du cache-sexe. Suggérant
plus que dévoilant, supplice de Tantale garanti !
Le némali ou encens
Le némali ou encens
Parfumé pour en relever l’odeur avec divers parfums et
essences, il est saupoudré sur des braises placées dans un petit pot en
terre (le « ande thiourayeThiourayeMélange
d'encens et d'autres arômes que l'on fait brûler sur un petit réchaud
rempli de braises et de cendres (le "ande") pour parfumer une pièce ou
des vêtements. »). L’encens est censé révéler la bête sommeillant en tout homme… qui se respecte.
Le saf safal
Le saf safal ou drogue du sexe
Introduit là où il faut chez ces dames, il est censé
rehausser l’intensité de l’acte de chair en procurant une chaleur
torride digne des feux de l’enfer, sans les inconvénients (de l’enfer
j’entends). « Ça chauffe mais ça ne brûle pas ». Ce serait le point
d’orgue !
Un homme de soixante ans, ancien militaire, interrogé
sur ce genre de pratique sexuelle, a ouvert de grands yeux en
proclamant qu’il ne s’était encore jamais aventuré dans cette "partie
du monde".
Le string
Le string
Ficelle en anglais, met en valeur les rotondités, là où
la cuisse s’appelle autrement. Présent sous tous les cieux, le string
est un bel exemple de mondialisation réussie...
Petit inventaire des artifices de la séduction à la sénégalaise
10 février 2008
La séduction est inscrite dans le patrimoine génétique de toutes les
femmes. Cet art est chez la Sénégalaise une seconde nature... Ses
secrets se transmettent de mère en fille, de génération en génération,
assurant la pérennité de toutes ces petites attentions. Aperçu du
dessous de ces dessus et petit inventaire des artifices de la séduction
à la sénégalaise.
La chambre est un espace de repos privilégié ; pour les avertis, un
endroit de voluptueuse rixe entre partenaires adultes et consentants...
Pour optimiser les atouts que la nature leur a généreusement distribués
et poussant la séduction jusque dans ses plus extrêmes retranchements,
les femmes ont investi la chambre pour en faire un territoire désormais
miné par la "guerre des sexes" : initiative dont curieusement aucun
homme ne se plaint...
Kira fashion |
Les bines-bines
Les bines-bines
Perles fines en plastique ou en céramique. Il existe
une grande variété de bines-bines : les fluorescents sont très
appréciés et permettent de se repérer dans le noir... Lorsque les
filles se mettent plusieurs colliers autour de la taille et déambulent
en ondoyant, l’homme se transforme illico en loup de Tex Avery. Ce
bruit très suggestif est une véritable invite pour le mâle... qui sait
écouter.
Les dial-dialis
Les dial-dialis
Perles en bois plus gosses que les bines-bines. Elles
font un bruit un peu crissant (dial dial dial dial), d’où leur nom,
lorsque leur porteuse se déplace. Ce bruit entêtant est pour les
connaisseurs un véritable appel à l’acte. On les met autour de la
taille, plutôt sur les hanches. On peut les personnaliser en les
trempant dans un bocal d’encens aromatisé à divers parfums selon les
goûts de chacun. Les dial-dialis roulent sur les hanches et constituent
une parure de plus pour le corps nu de la femme. Au Sénégal, dans le
Sahel, au Soudan et au Tchad entre autres, les dial-dialis sont réputés
pour titiller les virilités défaillantes.
Les béthios ou petits pagnes
Les béthios ou petits pagnes
À l’origine portés par les grands-mères en guise de
sous-vêtements. Aujourd’hui, avec l’invasion des tangas, strings,
boxers, culottes brésiliennes et autres et ce jusque dans les villages
les plus reculés, le petit pagne dans un réflexe de survie s’est
recyclé, entamant une seconde vie d’accessoire coquin.
Percés ou non, en coton ou en soie, qu’ils soient
"neutres" et "sages" ou ornés de dessins hautement suggestifs, les
petits pagnes sont devenus le nec plus ultra du cache-sexe. Suggérant
plus que dévoilant, supplice de Tantale garanti !
Le némali ou encens
Le némali ou encens
Parfumé pour en relever l’odeur avec divers parfums et
essences, il est saupoudré sur des braises placées dans un petit pot en
terre (le « ande thiourayeThiourayeMélange
d'encens et d'autres arômes que l'on fait brûler sur un petit réchaud
rempli de braises et de cendres (le "ande") pour parfumer une pièce ou
des vêtements. »). L’encens est censé révéler la bête sommeillant en tout homme… qui se respecte.
Le saf safal
Le saf safal ou drogue du sexe
Introduit là où il faut chez ces dames, il est censé
rehausser l’intensité de l’acte de chair en procurant une chaleur
torride digne des feux de l’enfer, sans les inconvénients (de l’enfer
j’entends). « Ça chauffe mais ça ne brûle pas ». Ce serait le point
d’orgue !
Un homme de soixante ans, ancien militaire, interrogé
sur ce genre de pratique sexuelle, a ouvert de grands yeux en
proclamant qu’il ne s’était encore jamais aventuré dans cette "partie
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Le string
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Ficelle en anglais, met en valeur les rotondités, là où
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عدل سابقا من قبل kouka في الأحد أغسطس 31, 2008 1:05 am عدل 7 مرات
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نقاط : 64
تاريخ التسجيل : 09/10/2007
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